Espèce(s) d'animateur

Édition 2013

Politique(s) et acteurs de jeunesse :
entre la posture du lotus et du cobra ?
Espèce(s) d'animateur - 4eme édition

Votre métier permet-il aux jeunes d'investir durablement le monde ? Êtes-vous un soutien à leur créativité sociale ?  Est-ce votre rôle de porter leur parole auprès des politiques et du grand public? Êtes-vous nécessaire à leur mobilisation ? Comment vous situez-vous par rapport aux enjeux sociétaux en général et jeunesses en particulier ? Avez-vous votre mot à dire ? ... Telles étaient quelques-unes des questions posées lors de cette quatrième édition.

Mises en bouche (ou 2 vidéos, histoire de vous ouvrir l'appétit)
  • Certains d'entre vous se sont livrés le 19 novembre 2013 face caméra. Merci à eux ! >>Visionnez cette vidéo 
  • Dans le cadre de cette édition un échange européen rassemblant 22 jeunes jeunes (belges, slovaques, gallois et français) a été organisé en collaboration avec Les Compagnons Bâtisseurs asbl. Many thanks to the youngsters for this beautiful testimony! (and for all the rest :) >>Visionnez cette vidéo 

Entrée  (ou le discours de bienvenue)
Pour la 4ème année consécutive, C-paje a mis sur pieds Espèces d’animateurs. Occupant la présidence de l’association, je suis annuellement convié à une prise de parole pour, suivant les années, commenter, interroger, alimenter les processus, les contenus et les propos de la journée.
L’année passée, pour ceux qui n’étaient pas là, j’avais été amené, en ouverture, à repositionner le projet C-Paje dans le champ de l’animation et la pratique de l’animation dans le champ du rêve. Cette année, et alors que nous abordons nommément le politique, la politique, les politiques, j’ai eu envie de vous parler de moi ; enfin, pas vraiment de moi, mais plutôt de mon papa… Rappel interpellant du fait que pour moi, le politique et l’intime sont étroitement liés.
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Le dessert (ou le discours de clôture)
 A l’heure de terminer cette journée, je vous ai concocté un petit proverbe chinois : « Grand semble le fossé entre le proche et le lointain ; pourtant, les pieds arpentent le proche et les yeux scrutent le lointain ».
Nous sommes si amplement empêtrés dans le magma de nos pratiques récurrentes et dans les réalités quotidiennes de nos publics, nous avons tant de mal à nous débattre sous le joug de nos obligations instituées et à résister à l’aimable pression des attentes des autorités locales (ou a contrario à leur aimable indifférence), que nous semble quasi inaccessible la sphère où se prennent les décisions et où se traitent les enjeux. 

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